Histoires à 58 mains

Nombreux sont les élèves de 5ème 2 qui ont la plume poétique. Mais certains sont peut-être des romanciers en herbe à la plume narrative... Cela dit, écrire tout un roman, c'est long ! Et difficile à partager sur le blog.
Voici donc une page sur laquelle vous allez pouvoir collaborer pour écrire des histoires !

Le fonctionnement :
- Je commence le roman par une ou deux phrases.
- Les volontaires le poursuivent et chaque participation fait avancer l'histoire.
- Lorsque l'histoire est terminée, je mets tous les commentaires bout à bout pour la publier en entier sur le blog.
- Je supprime tous les messages et on recommence une nouvelle histoire.

Les règles :
- Tous les genres d'histoire sont possibles (humour, amour, policier, aventure, fantastique, etc.).
- Mais il ne faut pas mélanger les genres : le ou les premiers auteurs décident du genre, qu'il faut ensuite respecter.
- Chaque participation doit faire avancer l'histoire, mais n'est pas forcément longue.
- Les auteurs peuvent intervenir plusieurs fois.
- Si personne n'achève spontanément l'histoire, je désignerai un des auteurs pour rédiger la conclusion.

Les commentaires :
Ils seront de deux types :
- Les participations à la rédaction du roman
- Les commentaires et les remarques sur les idées de tel ou tel auteur

A vos plumes !

64 commentaires:

  1. Je m'étais levé d'excellente humeur ce matin-là, et rien ne laissait présager ce qui allait m'arriver...

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  2. J'avez pris mon petit-déjeuner en silence, mais ma douche accompagnée de la radio. En mettant pied dehors, mon bonheur fût immediatement...

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  3. rompu, il pleuvait des cordes. Sous le froid, je couru vers l'école. En arrivant ...

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  4. J'ai trouvé mes amis sous un parapluie et ils discutaient de la mort de

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  5. du président préferé des français. Mon père m'en avait parlé le matin même, mais je ne pensais pas que mes amis s'interresseraient à lui ....

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  6. "Je ne comprends pas. Pourquoi vous intéressez vous à lui ?, questionnais-je
    -Et bien c'est l'homme le plus important de France, après Damian Gorfell, le chanteur de pop.
    Et en une semaine ils se sont fait assassinés tous les deux, expliqua Robert, mon voisin de classe, Ce n'est pas du hasard...

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  7. ça se trouve, ils ont été assassiné par le même homme ! Si la police ne s'en occupe pa, on menera l'enquête tous ensemble, n'est-ce-pas ?, a continué celui-ci
    -...

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  8. -Oui se serait une tré bonne idée, rétorqua un autre.
    -Mais qui a bien pût les assasiner?...

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  9. m'interrogeais-je."
    Et c'est comme ça que mes amis et moi avons commencés un entrainement spécial pour notre enquête.
    Notre entrainement avait une heure de karaté tous les matins, une heure de tir, ...

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  10. mais nous ne savions pas encore que nous nous aventurions dans un complot qui...

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  11. ainsi qu'une heure de yoga !
    Lorsque nous fûmes enfin prêts à partir ...

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  12. mon meilleur ami a tonné: "Et si c'est dangereux? Et si on se fait assassiné?" Je lui ai riposté...

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  13. d'un ton moqueur, si toi tu meurs, je serai premier de la classe

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  14. [Excellent. Palpitant. Et plein d'humour ! J'adore !]

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  15. Soudain, en plein milieu de notre s'approcha vers nous un homme vêtu d'un costume noir ainsi qu'un chapeau haut-de-forme. Il avança ces quelques mots:
    ...

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  16. [DE NOTRE MARCHE pardon!]

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  17. "Qui êtes vous et que faîtes vous ici?"
    Nous étions entré sans s'en être aperçu dans...

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  18. la propriété de Jack Eron, un millionnaire qui était tout le temps de très mauvaise humeur.

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  19. "On euh...euh...on...on.
    -Je répète que faites vous ici?" Finalement mon ami répliqua...

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  20. il expliqua, même si ce qu'il dis était faux : C'est un travail d'école : aller voir des gens et ...

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  21. Leur poser des questions sur...

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  22. Si l'argent fait le bohneur : "vous qui êtes millionaire, êtes-vous heureux?"...

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  23. -Ma vie est un paradis, mais à la longue, on finit par se lasser! Mais revenons à nos oignons! Vous ne savez pas lire. Il y a un panneau propriété privé devant!"
    Mon ami répliqua à ceci par :...

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  24. Mon ami réplique à ceci, toujours en mentant, par:
    "Mais, Monsieur, comme vous le savez nous avions un sondage à faire pour l'école donc nous nous sommes dit que vous pourriez faire une impasse à cela."
    L'homme resta sur ses gardes et continua...

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  25. " Je n'ai pas l'habitude qu'une bande jeune se promène dans ma propriété, passe pour cette fois, déclara-t-il, déguerpissez vite et que je ne vous revoie plus." Nous nous apprètâme à partir, quand un cri déchira le silence qui avait suivi cette petite conversation bien désagréable...

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  26. [De mieux en mieux ! Mais quelle peut bien être l'origine de ce cri ? J'ai hâte de découvrir la suite]

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  27. L' homme se retourna vers la source de ce cri. Il nous regarda d'un air gêné...

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  28. "Excusez moi, je dois y aller!...

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  29. Sans plus attendre nous le suivions discrètement mais derrière la villa , à notre grande stupéfaction , l'homme disparu ...

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  30. . Nous avions beau regarder partout autour de nous, tout ce qu'il y avait, c'était une poubelle dont le couvercle avait disparu!

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  31. Nous allâmes examiner la poubelle et nous découvrîmes une échelle au fond de la fausse poubelle ...

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  32. "Où mène-t-elle? demanda mon ami.
    -Comment veux-tu que je le sache? ripostai-je. On doit y aller.
    Mon ami déglutit péniblement.

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  33. Nous entrions un par un dans cet espèce de trou noir et jamais nous ne pensions arriver au bout...

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  34. Quand, tout à coup, Robert mis son pied sur un sol plein de poussière et de saleté. Il faisait sombre dans cette espèce de cave ...

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  35. On tira sur le petit cordon qui projetta une lumière faible d'une vieille lampe et soudain...

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  36. nous vîmes apparaître une énorme cave pleine de...

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  37. (hum desoler je me suis tromper!)

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  38. Effrayés nous sortîmes de cet sombre pièce et essayons de chercher une raison à cette suite d’évènements ; le cri strident, la disparition soudaine du propriétaire puis les traces de sangs sur le mur...

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  39. Nous venions de trouver l'explication quand nous vîmes un rayon de lumière qui venait de la torche du millionnaire. Sans attendre, mon ami lui fit une clef de bras et annonça:
    "Maintenant, avouez!"
    L'homme pleurnicha:
    "...

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  40. "Laissez-moi partir, laissez-moi partir!
    -Seulement si vous nous dites ce que c'est que cette histoire.
    Le millionnaire se tut, l'air renfrogné.

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  41. -Je vous jure que je n'y suis pour rien, je vous jure, répétait-il. Je l'ai vu...

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  42. - Vu quoi?, fit mon ami, en resserant sa prise,

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  43. -Lui!s'écria l'homme.
    -Qui?demandais-je.

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  44. Soudain, il s'évanouit. Nous n'étions pas plus avancé...

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  45. Mais on pouvait voir un papier qui dépassait de la poche de son long manteau beige ...

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  46. Nous décidâmes alors de le prendre. Après l'avoir examiné, nous l'ouvrîmes. Nous lûmes alors:
    "6 rue des peupliers(3ème étage, RHB=)"
    Ce message était écrit en patte de mouche et les enquêteurs avaient eu beaucoup de mal à le déchiffrer.J'engageai la conversation:
    "Que signifie ce "RHB=" sur ce papier?
    -C'est certainement le code de l'immeuble !,m'expliqua mon ami.
    -Oh regardez, si on observe attentivement ces pattes de mouche, le R est en réalité composé de deux chiffres: le un qui forme la barre verticale et le deux pour le reste.
    -Oui, je vois! Le H est lui composé de deux uns qui forment les barres verticales et le signe moins la barre horizontale.
    -Enfin, le B est lui aussi composé d'un un pour sa barre verticale et d'un trois pour ses courbes.
    -Résumons, RHB= est en fait l'opération 121-113 et le résultat est 8. Donc 8 est le code de l'immeuble. Allons-y!"
    ...

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  47. Nous nous demandions ce que nous pourrions voir là-bas...

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  48. Un homme avec un chapeau noir semblait attendre dans le hall de l'immeuble. Mathilde prit le courage de s'avancer prudemment vers lui puis l'instant suivant il lui susurra a l'oreille des mots que nous ne pouvions entendre de l'endroit où nous étions. Il lui tendit une valise noir et s'en alla par la porte de secours qui se trouvait de l'autre côté. Mathilde courut dans notre direction et ouvrit la valise. Plusieurs billets de cent euros y étaient étalés. Notre amie savait ce que nous allions demander et répéta d'une voix tremblante ce que lui avait dit l'homme:
    " Bon travail Walter comme promis je t'ai apporté la valise."...

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  49. Ca progresse, ça progresse ! On sent que l'enquête avance, et que le dénouement est proche. Mais ça ne va pas être facile de tout dénouer, car vous allez devoir reprendre tous les fils de l'enquête dont certains ont été laissés en suspent (le double meurtre du président et de la pop star), le cri strident (que vous n'avez pas expliqué), le mélange des prénoms (qui est Walter ? qui est l'homme au chapeau noir, quel rapport avec le millionnaire Jack Eron qui possédait le code de l'immeuble, d'ailleurs qu'ouvre ce code ? etc.
    Votre consigne désormais : essayer lorsque vous continuez cette histoire, de dénouer certains des fils laissés emmêlés.
    Pour vous aider, j'ai mis à la suite tout ce que vous avez écrit jusqu'à présent. Vous allez voir, c'est déjà un bon roman policier ! Mais un bon roman policier a toujours une fin qui donne la solution des énigmes !

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  50. Les écrivains de 5ème 219 janvier 2011 à 16:17

    Je m'étais levé d'excellente humeur ce matin-là, et rien ne laissait présager ce qui allait m'arriver... J'avais pris mon petit-déjeuner en silence, mais ma douche accompagnée de la radio. En mettant pied dehors, mon bonheur fût immédiatement rompu : il pleuvait des cordes. Sous le froid, je courus vers l'école. En arrivant, je retrouvai mes amis sous un parapluie et ils discutaient de la mort du président préféré des Français. Mon père m'en avait parlé le matin même, mais je ne pensais pas que mes amis s'intéresseraient à lui ....
    « Je ne comprends pas. Pourquoi vous intéressez vous à lui ? questionnai-je.
    - Et bien c'est l'homme le plus important de France, après Damian Gorfell, le chanteur de pop. Et en une semaine ils se sont fait assassiner tous les deux, expliqua Robert, mon voisin de classe. Ce n'est pas dû au hasard... Si ça se trouve, ils ont été assassinés par le même homme ! Si la police ne s'en occupe pas, on mènera l'enquête tous ensemble, n'est-ce-pas ? a-t-il continué.
    - Oui ce serait une très bonne idée, rétorqua un autre.
    - Mais qui a bien pu les assassiner ? m'interrogeai-je. »
    Et c'est comme ça que mes amis et moi commençâmes un entrainement spécial pour notre enquête. Notre entrainement comportait une heure de karaté tous les matins, et une heure de tir ainsi qu’une heure de yoga ! Mais nous ne savions pas encore que nous nous aventurions dans un complot qui nous dépassait.
    Lorsque nous fûmes enfin prêts à partir, mon meilleur ami a tonné :
    « Et si c'est dangereux? Et si on se fait assassiner ? »
    Je lui ai riposté d'un ton moqueur :
    « Si toi tu meurs, je serai premier de la classe ! »
    Soudain, en plein milieu de notre marche, s'approcha de nous un homme vêtu d'un costume noir ainsi qu'un chapeau haut-de-forme. Il avança ces quelques mots:
    « Qui êtes vous et que faîtes vous ici ? »
    Nous étions entrsé sans nous en être aperçus dans la propriété de Jack Eron, un millionnaire qui était tout le temps de très mauvaise humeur.
    « On… euh...euh...on...on.
    - Je répète que faites vous ici ? »
    Finalement mon ami expliqua, même si ce qu'il disait était faux :
    « C'est un travail d'école : nous devons aller voir des gens et leur poser des questions sur… l’argent. Si l’argent fait le bonheur. Vous qui êtes millionnaire, êtes-vous heureux ?
    - Ma vie est un paradis, mais à la longue, on finit par se lasser! Mais revenons à nos moutons ! Vous ne savez pas lire ? Il y a un panneau « propriété privée » devant l’entrée ! »
    Mon ami répliqua à ceci, toujours en mentant, par :
    « Mais, Monsieur, comme vous le savez nous avions un sondage à faire pour l'école donc nous nous sommes dit que vous pourriez faire une impasse sur votre propre règlement. »
    L'homme resta sur ses gardes et continua :
    « Je n'ai pas l'habitude qu'une bande jeunes se promène dans ma propriété. Passe pour cette fois, déclara-t-il, déguerpissez vite et que je ne vous revoie plus. »
    Nous nous apprêtions à partir, quand un cri déchira le silence qui avait suivi cette petite conversation bien désagréable. L'homme se retourna vers la source de ce cri. Il nous regarda d'un air gêné...
    « Excusez moi, je dois y aller !... »

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  51. Les écrivains de 5ème 219 janvier 2011 à 16:19

    Sans plus attendre nous le suivîmes discrètement. Mais derrière la villa, à notre grande stupéfaction, l'homme avait disparu ! Nous avions beau regarder partout autour de nous, tout ce qu'il y avait, c'était une poubelle dont le couvercle manquait. Nous allâmes examiner la poubelle et nous découvrîmes une échelle au fond de ce qui s’avéra être une fausse poubelle.
    « Où mène-t-elle? demanda mon ami.
    - Comment veux-tu que je le sache? ripostai-je. On doit y aller. »
    Mon ami déglutit péniblement. Nous pénétrâmes un par un dans cette espèce de trou noir dont jamais nous ne pensions arriver au bout. Quand, tout à coup, Robert mit son pied sur un sol plein de poussière et de saleté. Il faisait sombre dans cette espèce de cave. On tira sur un petit cordon qui projeta une lumière faible d'une vieille lampe et soudain nous vîmes apparaître une énorme cave pleine de sang sur les murs. Effrayés nous sortîmes de cette sombre pièce et essayâmes de chercher une raison à cette suite d’évènements : le cri strident, la disparition soudaine du propriétaire puis les traces de sangs sur le mur...
    Nous venions de trouver l'explication quand nous vîmes un rayon de lumière qui venait de la torche du millionnaire. Sans attendre, mon ami lui fit une clef de bras et annonça :
    « Maintenant, avouez! »
    L'homme pleurnicha :
    « Laissez-moi partir, laissez-moi partir !
    - Seulement si vous nous dites ce que c'est que cette histoire. »
    Le millionnaire se tut, l'air renfrogné.
    « Je vous jure que je n'y suis pour rien, je vous jure, répétait-il. Je l'ai vu...
    - Vu qui ? fit mon ami, en resserrant sa prise.
    - Lui !s'écria l'homme.
    - Qui ?demandai-je »
    Soudain, il s'évanouit. Nous n'étions pas plus avancés, mais on pouvait voir un papier qui dépassait de la poche de son long manteau beige. Nous décidâmes alors de le prendre. Après l'avoir examiné, nous l'ouvrîmes. Nous lûmes alors : 6 rue des peupliers(3ème étage, RHB=). Ce message était écrit en pattes de mouche et nous, pauvres enquêteurs, avions beaucoup de mal à le déchiffrer. J'engageai la conversation :
    « Que signifie ce "RHB=" sur ce papier?
    - C'est certainement le code de l'immeuble ! m'expliqua mon ami.
    - Oh regardez, si on observe attentivement ces pattes de mouche, le R est en réalité composé de deux chiffres: le 1 qui forme la barre verticale et le 2 pour le reste.
    - Oui, je vois ! Le H est lui composé de deux 1 qui forment les barres verticales et le signe moins la barre horizontale.
    - Enfin, le B est lui aussi composé d'un 1 pour sa barre verticale et d'un 3 pour ses courbes.
    - Résumons, RHB= est en fait l'opération 121-113 et le résultat est 8. Donc 8 est le code de l'immeuble. Allons-y ! »
    Nous nous demandions ce que nous pourrions découvrir là-bas...
    Un homme avec un chapeau noir semblait attendre dans le hall de l'immeuble. Mathilde prit le courage de s'avancer prudemment vers lui puis l'instant suivant il lui susurra à l'oreille des mots que nous ne pouvions entendre de l'endroit où nous étions. Il lui tendit une valise noire et s'en alla par la porte de secours qui se trouvait de l'autre côté. Mathilde courut dans notre direction et ouvrit la valise. Plusieurs billets de cent euros y étaient étalés. Notre amie savait ce que nous allions demander et répéta d'une voix tremblante ce que lui avait dit l'homme :
    « Bon travail Walter comme promis je t'ai apporté la valise. »

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  52. [madame, vous avez demandé qu'est-ce qu'ouvrait le code mais justement : le code ouvrait la porte de l’immeuble où se trouvait l'homme au chapeau noir...]

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  53. Il faudra peut-être préciser un peu mieux cette phrase dans la version définitive. Mais d'ici là, il faudrait clore cette histoire. Comme je le précisais dans les règles, si personne ne s'en charge spontanément, je désignerai un responsable de la conclusion, afin que nous puissions passer à une nouvelle histoire, chevaleresque peut-être cette fois.

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  54. Un petit papier était accroché à la mallette. On pouvait y lire:
    "Bravo pour D. M et le Pr..." la suite était incompréhensible.
    "On dirait des initiales, remarqua Jean-François-Pierre-Batiste-André.
    -D.M... comme Damian Gorfell! m'exclamais-je"!
    -Peut-être que le bravo était de l'avoir tué, remarqua Robert.
    -Et Pr comme Président! s'écria un autre de mes amis."
    Rapidement, nous parvînmes à la conclusion que l'homme à qui l'homme en noir devait normalement rendre cette mallette avait tué les deux hommes. Et la personne qui possédait le papier était... le millionnaire!

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  55. Plusieurs jours passèrent sans que nous pûmes avancer dans notre enquête, qui était certes très délicate, mais aussi d'une difficulté qui ne devait avoir été encore jamais atteinte. nous décidâmes d'aller voir(encore une fois) ce millionnaire qui devait être impliqué dans d'autres crimes... Mais lorsque nous arrivâmes a destination, la stupeur nous pris car nous aperçûmes

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  56. ...l'homme en noir qui nous avait donné la mallette! Il semblait furieux contre le millionnaire et, dès qu'il nous aperçut, il s'avança vers nous d'un air... peu aimable...
    Nous jugeâmes alors utile de fuir. Dans notre course, je crus comprendre aux insultes qu'ils lançaient qu'il aurait du donner la mallette au millionnaire, qu'il s'était trompé et que nos parents était des... d'accord, je ne relèverai pas ce qu'il a dit...
    Quand nous nous arrêtâmes enfin, à bout de souffle, je fis part à mes amis de mes impressions.
    "Résumons, dit Jean-François-Pierre-Batiste-André, le millionnaire a tué le président et Damian Gorfell pour l'homme en noir qui lui a apporté de l'argent, dans la mallette que Mathilde nous a rapporté. Tout s'éclaire!
    -Non, pas tout, dis-je d'une voix sombre. Un, nous ne savons toujours pas comment s'appelle l'homme en noir et deux... le millionnaire s'appelle Jack, pas Walter...
    -C'est peut-être un deuxième prénom? suggéra Paul.

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  57. Nous remarquions que Mathilde se tenait dans un coin, sans parler. Elle nous expliqua qu'elle avait lue un article sur Jack Héron dans le journal et qu'il avait... un frère jumeau nommé Walter! A ce stade-là, l'enquête était résolue.

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  58. Nous nous dirigions vers le poste de police, lorsque je sentis une main se poser sur mon épaule

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  59. Je me retournait et vis l'homme en noir nous viser avec son pistolet muni d'un silencieux....

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  60. Malheureusement, l'homme avait aussi à la main un sac contenant du gigot. Au moment de tirer, un chien lui sauta dessus, lui cachant la vue. Nous échappâmes à son tir et partirent en courant vers le commissariat. Arrivés là-bas, un homme nous écouta attentivement pendant que nous racontions notre histoire. A la fi du récit, il éclata de rire en disant qu'on s'était moqué de lui. Mathilde lui montra alors la mallette de billet. J'ai cru que l'homme allait s'étouffer lorsqu'il vit les jolis billets roses et verts. Immédiatement, il alerta ses collègues qui partirent chez le milliardaire pour l'arrêter, ramassant en chemin l'homme en noir couvert de bave de chiens.
    Nous étions très fiers de nous. Nous regardions, satisfaits, les deux hommes monter dans le fourgon de police, lorsque Paul me tira par la manche. Il nous montra alors un grand homme en violet venir vers nous. Je le reconnus tout de suite. C'était le secrétaire du président décédé!

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  61. Il nous félicita et nous proposa de passer au journal de 20h."

    "Merci pour votre témoignage. Tout de suite la météo.fit le présentateur du journal"

    Ainsi s'achève l'histoire d'un groupe d'enfants qui débrouillèrent l'affaire des assassinats du président et d'un chanteur.

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